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Partie1 les grands courants de la pense conomie1-Emergence(出现) de la pense conomieEconomie vient du mot grec (oikos) maison et (nomos)-ordre La science de lorganisation de la maison Premire penseur utiliser le terme (co) est AristoteEdmond Malinvaud1923 dfinir co les ressources rares emloye pour la satisfaction de hommes vivants. Il sintresse les oprations de production et facilit ces oprations; consommation; distribution;et institution pour faciliter ces oprations; les domaines dtude de lconomie peut tre agents conomique(comportement et environnement) - micro co et niveau dtat macroconomie.1) la pense co avant le 16 sicle1-Aristote il dfend un principe:la proprit priv. Il crois que eco est la science de lactivit en famille.il juge le prt intrt;le salari et le commerce2-saint Thomas dAquin il dfend la proprit priv et lco du march; il condamne(反对)le prt intrt;il approfondi la notion de prix et de justice prix.Pour lui, le prix demand par un artisant pour assurer lachat de bien de consommation nce a entretient la famille prix dun bien = plus ou moins pris de subsistance dune personne. le travail manuel comme une obligation gagner sa vie. Il condamne lesclavage(奴隶-) 2) la formation de la pense co .16sicle, dveloppement du commerce et labondance montaire provient des Amriques-provoque une forte montisation 1-le mercantiliste - donn par Adam Smith au milieu de 15 et 18 siclescommerce extrieur un des principes facteurs de richesse. Ce doctrine asseoir la puissance de prince .le commerce de pays X suprieure M ,limiter les M= intervention de lEtat. Bilais de manufacture er dindustrie. Masse montaire le niveau de prix la demande externe et interne . Bodin augmentation de prix provient accroissement Masse montaire: arriv dor en Espagnol-richesse et aug de pris en Espagne, un dficit commercial en Espagne gnre une diffusion dor vers Europe ,hausse prix dEurope. 2-les physiocrate - dire pouvoir nature , Quesnay , mdecin ,premire auteur pens un circuit 3 classe dagents productive(agriculture) strile (artisan) propritaire .ordre libral , le gouv assure la libert des changes. 2 le dveloppement de la pens conomique1- thories classiques1- Adam Smith prof de philosophie et commissaire de douane division de travail; notion de march notion de valeur publication (recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations) Division de travail amlioration de la productivit , spcialisation des ouvriers , dimunition de temps de changement de tche Notion de march les E utilisent leur capital pour satisfaire leur intrt ,une main invisible assure harmonie des intrts des individus et conduit au bien tre gnral. LETAT ne peut pas intervenir que comme gendarme(宪兵)Valeur de marchandise -le quantit de travail unit de bien valeur dusage et valeur dchange. Le prix nature et march,le prix nature: somme de salaires et profits er rentes quil faut pay; le prix de march: une offre qui compose le prix naturel et une demande qui est prt acheter.2- David Ricardaboliton des lois protection sur le bl -rpartition des richesses (principe de lconomie politique et de limpt ) il dfinit que le capital comme la richesses employe dans la production par ex la machine, ce captal est une avance fait par les epargnant pour produire , le rmunration est le profit ,2 catgories de salaires naturel et de march. Salaire naturel: le salaire de subsistance ,si le prix augmente , mme que le salaire de march. Salaire de march: le taux de salaire auquel sera rellement pay le travailleur qui rsulte la confrontation entre loffre et la demande sur le march.si le travail rare , le salaire lev , au contraire; quand le salaire de march le salaire naturel, le travailleur sera se procurer plus et membres de famille plus , loffres de travail sera plus, le pris de march va se rapprocher du salaire naturel.La valeur dchange de marchandise: raret et quantit La baisse tendancielle du taux travers un lien entre la croissance dmographique(人口的) er la croissance dco: les hommes cultive les terres le plus fertiles la population augmente les terres moins fertiles plus cher Libre change 3- - Jean Baptiste Say conomiste franais prof au collge ouvrage(le trait dco politique) Attribuer un rle important lpargne- permet dacheter les machines, il est le pre de la loi des dbouchs:la production offre des dbouchs aux produits la Thorie de lOffre La monnaie est un intermdiaire des changes . Epargne nexiste pas a intervention. Libre change Smith et Ricord et Say -libralisme (laisser faire, laisser passer) La proprit prive est un droit naturel. LEpargne joue un rle essentiel achats machines. Il existe un quilibre entre loffre er la demande. 2 -Thorie Marxiste 1 Karl Marx Economiste philosophe historien journaliste homme politique 19 siclesValeur de marchandise: temps de travail quantit moyenne de travail dans les conditions techniques du moment. Le travailleur vendent aux propritaires leur force de travail et reois en contrepartie un salaire.Lecart qui va se cre par les salaris et la force de travail= plus valut permettre de consommer des nouveaux moyens de production. 3 La thorie Noclassique libralisme conomique , comme la science des choix rationnels raliss par des individus rationnels qui cherche satisfaire au mieux leurs besoins en combinant des ressources rares.lanalyse noclassique sinscrit dans une optique microconomique. Ecole classique =macroconomique. Point commun = libralisme economique. Lon Walras , laborer la thorie de lquilibre gnral,l le march est parfait. le pre de lco mathmatique. Marchel = les notions dquibres appliqu march. La valeur dchange -dpend son utilit et utilit marginale = correspondre la dernire unit consomm. Walras, (plus on mange , moins on a faim) Question de dtour de production: -Bhm-Bawreck -les volume des biens de consommation au sein dune conomie va tre dautant plus important que le dtour de production ou linvestissement plus long. Chapitre 3 thorie KeynsienneOuvrage1936: thorie gnral de lemplois de intrt et de la monnaie; Son approche:embl macroconomique lEtat est un rgulateurs du systme conomique.1- le rejet des approches classiques et noclassiqueIl rejette la loi dbouchs de Say= loffre cre sa propre demande, toue crise de production nexiste pas; epargne = investissement, tout doit consommer, pas de crise co. le niveau de la demande est limit par le niveau de production.Keynes montre que il existe des fuites dans ce circuit de production , le salari ne consomme tous les revenus et pargne. Cest le demande dtermine loffre globale.2le rejet la dmarche noclassique Noclassique est une approche microconomique +march est parfait = quilibreLa monnaie est une intermdiaire dchange.Keynes considre que la concurrence pure et parfaite sont irreccevable.Les march est gnral imparfaits;Chez le noclassique ,la monnaie est une intermdiaire dchange, mais Keynes considre que la monnaie peut tre demande pour elle-mme, =la prfrence pour la liquidit,= des fuites monnaies= nest pas neutre. Contenu de la thorie keynsienneA) la loi psychologique fondamentale-relation ente le revenu national et la consommation national = la consommation augmente avec le revenu mais plus faible, pargne plus rapide. Plus le revenu aug, plus la consommation diminue, plus lpargne augmente.B) thorie keynsienne sur lemplois -le march de travail nest pas strict ,il nest pas vritable confrontation entre offre et demande. Le demande de travail est dtermine par le programme de production tablit par les entrepreneur pour satisfaire la demande anticip. Baisse de salaire ne pourra pas emboucher =le niveau de la demande va dinminuer, et en mme temps le niveau de production et demploi. Loffre demplois dpend de facteurs institutionnels tel que lge de retrait, la dure dtudes. Il peut existe un chmage qualifi dinventaire.C)Le multiplicateur dinvestissement LEtat peut dcider de procder un investissement autonome, nest pas induit par un demande. Il dcrit une injection de revenu dans lco va provoquer un accroissement plus important de la production. Formule: m=1/(1-Pmc) Pmc:propension marginal consommer dans un co ouverte: m= 1/(1-Pmc+PmM) PmM: propension marginal import. Plus la propension marginal import, plus le multiplicateur sera faible;plus impact dune relance par linvestissement publique sera rduite. Chapitre 4 les dveloppement contemporaine de la thorie conomique.Philips tablit un relation entre le chmage et le taux variation de salaire=dcroissantePlus le taux de chmage est faible, plus la concurrence entre les employeurs va tre forte pour attirer les salaris et plus ces derniers vont pouvoir obtenir la hausse de salaire. nest possible de lutter le chmage quen acceptant un peu plus dinflationet la linflation entraine plus de chmeursSamuelson Milton Friedman-contre philips quand il y a des inflation et chomge en mme temps. il est le pre du courqnt monnaitariste.Laugmentation des dpenses de ltat pour dynamiser la croissance co va entrainer des embauches dans un premier temps produire davantage ainsi que de linflation.Dans un seconde temps ,les salaris vont trouver que linflation provoque lrosion de leur pouvoir dachat= demande est bais = les E rduire leur effectifs . il est pour la stabilit de prix , 2% de inflation.2) les conomistes inspirs par le noclassiqueFriedman -critique de Phillips le courant montariste = toute action dEtat pour amliorer le revenu est inefficace lon terme, il prconise la stabilit des prix= avec un inflation de 2%/an. Letat pas trop intervenir lco.Gilbert et Laffer -les difficults conomiques proviennent dune insuffisance de loffre des facteurs de productions due trop forte intervention de ltat. Les prestations sociales prennent loffre de travail en diminuant le cot du non travail.; les impt diminue lpargne et loffre de capital. Il prconise une rduction des impt, prestation.Boyer et Aglietta-combinent marxiste et keynsienne INSEE -LInstitut national de la statistique et des tudes conomiques (Insee) est charg de la production, de lanalyse et de la diffusion des statistiques .cest un source de statistique public qui dfend du ministre de lco.Elle a un rle dinformation et dtude aprs des agents co.-les notes est a juin et septembre et dcembre.,ils sont destine aux professionnel aux mnages qui le souhaitent .OFCE-LObservatoire franais des conjonctures conomiques (OFCE) est un centre de recherche et de prvision conomiques que tudie la conjoncture de lco franaise,ses structure et son environnementextrieur et formule ses provision court et long terme.OCDE-LOrganisation de coopration et de dveloppement conomiques est une organisation internationale dtudes conomiques, dont les pays membres, des pays dvelopps ont conomie de march.La politique conomique dans le cadre europen.Les objectif des politique conomique A partir de deuxime guerre , lEtat a une intervention sur lco politique.-les objectifs de court-terme de la politique coCarr magique de Nicolas KALDOR, ce carr permet de dfinir les objectifs de la politique conomique court terme. 4 indicateurs sont prsents dans ce carr magique: le taux de croissance du PIB, le taux de chmage, le taux dinflation, la balance des transactions courantes en pourcentage du PIB. - taux de croissance le plus lev possible, faible taux de chmage, inflation modr, balance des transactions courantes excdentaire. - Les objectifs de long terme de la politique conomique La France est signataire de trait de europen , les quelle guident les co de signataire. la stratgie de Lisbonne pour la croissance et lemploi fixent pour objectif de moderniser lconomie europenne pour faire face linternationalisation des marchs, au vieillissement de la population et la contrainte environnementale. Ds lors, de grandes orientations de politique conomique sont reprises par les diffrents Etats membres de lUnion Europenne: augmenter linvestissement dans la recherche-dveloppement, favoriser la diffusion et lutilisation des technologie de linformation et de la communication, dencourager lutilisation durable des ressources, promouvoir un march intrieur des services, supprimer les obstacles commerciaux et rglementaires qui entravent la concurrence, amliorer les infrastructures europennes de transport afin de favoriser la mobilit des personnes et des marchandises. -Les interactions entre les objectifsLes diffrents objectifs - cohrents entre eux mais aussi contradictoires.Les interactions entre les objectifs de court terme: es 4 points du carr magique dfinis par Kaldor ne peuvent pas toujours tre suivis simultanment, certains objectifs sont conciliables, dautres sont difficilement compatibles. EX:croissance dco +plein de emploi= interaction positive. Lien positif entre la croissance et le taux de chmage. Mais croissance dco et inflation modr est difficile conciliable. Forte croissance tension sur le marchtension hausse prix de salaire et biens et services- MP(ptrole, acier) va augmentergnrer une hausse de prix durableinflation -cest incompatible.-Les interactions entre les objectifs de long terme:Compatible: Renforcement de la comptitivit et dun solde extrieur positiflimiter le salaire- en optimisant le processus de production- une augmentation des exportation- a balance commerciale et le solde extrieur du pays.Incompatible: plein emploi et renforcement de la comptitivit =rduire le cut de produit-limiter les salari-limiter des embouches-hausse de chmageChapitre 3: les principales politiques conomiquesRencontrer les quilibres durables tels quun ralentissement de la croissance, une hausse du chmage, hausse des prix= politiques conjoncturelles et a long terme structurelle. Ces deux politiques conomiques lorsquelles sont combines, on appelle cela le Policy mixpolitiques conjoncturelles: De anne 30 70(choc ptrolier), la intervention nest pas contest. A partir de 80 2008(explotion la bulle immo) linterventionnisme largement remis en cause.A) la politique budgtaire Elle se dfinit comme laction des pouvoirs publics exerce par le biais du budget de lEtat dans le but dinfluer sur la conjoncture conomique. -optique qualifie de contra-cyclique- corriger ou attnuer les alas de la conjoncture conomique EX: ralentissement dco -augmenter la dpense publique en mme temps, ralentissement dco- la recette diminuer- moins de rentre fiscale-dficit de budgtaire.A inverse, expansion conomie- prlvements fiscaux et sociaux augmentent-les dpenses sociales diminue-stabilisateurs automatiques - amortir les variations conjoncturelles de lactivit conomiqueOptique Keynsienne: une telle politique consiste soutenir lactivit conomique court terme en faisant jouer le multiplicateur keynsien:la dpense publique augmente, relance la consommation ,investissement , revenue. 2008-2009: rduction impt, emprunt a taux 0, =31 milliards EU a limiter les dficits publics excessifs et la borne des 3%, cette borne des 3% ont t assoupli puisque les pays ont largement drap sur le plan budgtaire. B) La politique montaire: Elle vise adapter le mieux possible loffre de monnaie du systme bancaire aux besoins des agents conomiques court terme et long terme. Cest le BCE.-au zone de la monnaie euros , maintenir la stabilit des prix et davoir une inflation de 2%. Qui va agir sur le taux de intrt grer la quantit de maonaie. En cas de forte croissance dco, la BC va mener une politique montaire plus restrictive.-rduire la distribution de prix augmenter le taux intrt.II) les politiques structurellesElles visent modifier les structures conomiques et sociales pour accroitre la comptitivit et lefficacit dun pays long terme.- la politique industrielle, de la concurrence, de lemploi et de la formation, de la protection sociale, agricole. Chapitre 4: Limites et perspectives de la politique conomiqueLes politiques conomiques contraintes par les Etats natteignent pas toujours leurs objectifs. Les limites de la politique budgtaire Effet dviction.阻力 lEtat capte une grande pargne -dtriment lemprunt mis par les entreprisepreneur doit payer plus intrt.Lie louverture des conomies.: effet du multiplicateur keynsien se rduit, toute relance profite aussi dsormais aux producteurs trangers, par consquent, une politique de relance, pour tre efficace doit tre conduite de manire simultane et coordonne entre plusieurs Etats ayant des liens conomiques forts. Les limites de la politique montaire Laction des autorits montaires par le biais de la banque centrale europenne, pour rguler la masse montaire, rencontre certaines difficults1- en cas de conjoncture conomique morose-baisse de taux intrt insuffisant.2 si les mnages ne souhaite pas investirinsuffisant La baisse de intrt Peut produire des bulles spculatives, donc le banque va ne pas octroyer les emprunts-problme pour les entreprises ont besoin demprunt Le BCE, nest pas indpendant, si rserve fdral Amricain augmente le taux intrt, pour les limiter, inciter les inve

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